Pour beaucoup, le fameux zodiaque compte douze signes que tout le monde (ou presque !) connaît par cœur… Et pourtant, il est un treizième signe dont peu connaissent l’existence et qui commence pourtant à semer un peu la zizanie… Il s’agit du signe du Serpentaire. Un signe dont se sont saisis déjà pas mal d’astrologues et qui commence déjà à être intégré dans certains horoscopes grand public. Ce signe concerne les individus dont la date de naissance se situe entre le 29 novembre et le 17 décembre. Communément baptisé « le Serpentaire », ce signe est aussi parfois appelé « Ophiuchus ».
Très proche du Scorpion…
D’après les conclusions des astrologues qui se sont activement penché sur cette question, le profil astrologique du « Serpentaire » serait très proche de celui du Scorpion. Les traits de caractères seraient très communs aux deux signes, ce qui permettrait ce rapprochement. Il est ainsi admis que les Serpentaires débordent d’énergie, très attirées par tout ce qui est culturel et animés d’une très grande soif d’apprendre. Dotés d’une autorité naturelle, ils n’en abusent pourtant pas. Ils n’aspirent d’ailleurs en aucun cas à commander et à devenir chefs ou patrons car ils tiennent énormément à leur liberté et surtout à leur indépendance. Les Serpentairs ont une approche très humaine de la vie et c’est justement dans les rapports humains intenses qu’ils se réalisent le mieux. Ils ont aussi un côté très « pédagogues » car ils aiment transmettre leur savoir. Beaucoup d’entre eux se dirigent d’ailleurs vers des carrières dans l’enseignement.
Abnégation et ténacité…
L’autre grand trait de caractère des Serpentaires est leur abnégation et leur ténacité. Comme le dit l’adage populaire : « lorsqu’ils ont une idée en tête, ils ne l’ont pas ailleurs » ! Et il est vrai qu’il est très difficile d’inciter un Serpentaire à changer de route ou (même pire !) de rebrousser de chemin ! Mais cet entêtement constitue plutôt un atout car c’est souvent grâce à cela qu’ils connaissent le succès. Ils savent pertinemment que, dans la vie, on a rien sans rien ! Alors ils se donnent tous les moyens pour parvenir à leurs objectifs et sont capables, lorsqu’ils sont réellement motivés, de faire preuve de patience mais aussi de méthode.
Instabilité affective…
Le côté un peu plus « handicapant » du Serpentaire est sa grande instabilité affective. Il a très vite l’impression d’étouffer lorsqu’il vit trop longtemps avec la même personne et ressent alors le besoin de briser les chaînes. Non pas d’ailleurs pour se retrouver seul mais pour voler vers une autre aventure. Car, en réalité, le Serpentaire a une vraie peur de la solitude et a toujours besoin d’être entouré. Il recherche de l’affection bien sûr (comme tout un chacun !) mais il a surtout besoin de se sentir admiré et d’être valorisé. Tout cela parce qu’il a souvent une haute estime de lui-même mais tombe aussi souvent dans le doute quant à la manière dont il est perçu par son entourage qu’il soit affectif ou professionnel.
Fruit du mouvement axial des astres…
Voilà donc le profil astrologique très « global » du signe du Serpentaire… Mais vous vous posez sûrement la question de savoir d’où est vraiment sorti ce signe que l’on voit encore si peu dans nos horoscopes…L’apparition de ce signe viendrait en effet d’un constat indubitable. Ainsi, les signes du zodiaque ont été définis et établis par les Babyloniens il y a de cela des milliers d’années. Or on sait aussi que l’axe des astres a énormément changé depuis. Cela implique que les positions « relatives » à la fois du soleil et de la terre ont également évolué. Or, qu’est-ce que l’astrologie sinon la relation entre la position des planète et notre destinée et personnalité individuelles ? Ce signe du Serpentaire remet donc les choses dans l’ordre car il prend en compte tous ces mouvements.
À chacun sa position…
Ceci dit, les astrologues continuent à s’affronter les uns les autres pour savoir s’il faut réellement intégrer le Serpentaire dans l’édification des horoscopes. Il y a d’un côté les « traditionnalistes » qui ont décidé d’occulter cette nouvelle donne. Et, de l’autre côté, les « puristes » désireux d’intégrer tous les nouveaux éléments dans leurs études astrologiques. Cette vision est d’ailleurs tout à fait défendable. Pourquoi, en effet, se priver de nouvelles connaissances même dans un art ancestral ? Il semble que ce soit bien dommage car cela, de plus, ne dénature en rien les fondements essentiels de l’astrologie ni même sa mission qui consiste à aider les individus à mieux se connaître eux-mêmes et à disposer de tous les atouts pour évoluer le plus sereinement possible…